La chambre
Cher journal Hôtel de Paris
Le 15 janvier 1888 M .Van Gogh m’a demandé d’aller nettoyer sa chambre au complet. Pour moi c’était un honneur de faire le ménage dans la chambre d’un illustre peintre.
Je grimpais les escaliers en direction de sa chambre qui se situait au dernière étage de l’hôtel. Je grimpais les dernières marches et arrivais dans l’antichambre je pris la précieuse clés je la mis dans le verrou, la main tremblante la porte s’ouvrit dans un petit cliquetis et je pénétrais dans la chambre de mon peintre.
Une immense clarté venait m’éblouir quand je m’habituais à cette lumière, je vis une chambre très bien rangée, tout était a sa place. Je vis que la fenêtre était ouverte alors je m’avançais pour la fermer avant de refermer cette fenêtre j’admirais la magnifique vue qu’on n’avait de la chambre: on voyais le tout Paris c’était magnifique. J’entendis la porte s’ouvrir je me retournai et là, le drame: je trébuchai sur la chaise alors j’essayai de m’agripper à un tableau et le fis tomber par terre et le cassa, je me retrouvai à quatre pattes devant les pieds mon peintre alors tellement j'avais peur je me mis à pleurer en lui disant :
« Désolé d’avoir briser votre tableau je suis vraiment navré » et Van Gogh se mit à rire tout en disant :
« Ce n’est pas grave ce tableau n’avait pas d’importance » Je me relevais et je partais de sa chambre et avant que je franchisse la porte il me dit :
« Encore merci pour le ménage » et on se mit à rire.
Je partis dans ma chambre et je repensais à ce moment avec mon peintre.
A bientôt mon cher journal peut-être pour te parler encore de mon peintre.
Dimitri